Pas de reconfinement pour le moment en France. Le gouvernement a choisi de laisser des signes les dernières chances mais il durcit toutefois des mesures pour éviter les circulations du virus. Interdiction d'entrée sur le territoire pour les voyageurs qui arrivent d'une destination hors de l'Union européenne dès dimanche. Des grands centres commerciaux, eux, vont être fermés.
Retour en France, ont eu lieu de nouvelles manifestations contre la loi sur la sécurité globale. À Paris, Rennes et Nantes, la mobilisation était en baisse par rapport aux dernières semaines. Un peu plus de 32 mille personnes sur l'ensemble de la France selon le ministère de l'Intérieur.
Je vous disais un titre. En Russie, c’est un nouveau rebondissement dans l’affaire de palais situé sur l’île de la mer Noire. Un milliardaire proche de Vladimir Poutine assure en être le propriétaire. Immense château n'appartiendrait donc pas au président russe contrairement à ce qu’affirme son principal opposant Alexeï Navalny.
Direction maintenant le Portugal fait face à une troisième vague très virulente malgré un reconfinement mis en place depuis 2 semaines. Le pays est le plus durement frappé au monde par la pandémie compte tenu sa population et hôpitaux sont saturés. On écoute l'envoyée spéciale à Lisbonne...
La nouvelle administration Biden veut revoir les positions diplomatiques des États-Unis dont de nombreux dossiers notamment au Moyen-Orient. Washington entend ainsi garder une certaine neutralité au Yémen pour ménager notamment à l'Iran.
La mort médicalement assistée désormais autorisée au Portugal. Les députés ont majoritairement voté en faveur de la dépénalisation de ce procédé. Le pays devient ainsi le quatrième pays de l'Europe à l'adopter. RFI Lisbonne, Marie-Line Darcy.
Le Portugal considère désormais qu’un malade en situation extrêmement grave et ses accompagnants ne sont plus passibles de poursuites judiciaires si elles mettent fin à la vie de cette personne. Le texte qui vient d’être approuvé à la majorité de l’Assemblée nationale met fin à 11 mois de procédure législative sur la question. Le processus a été marqué par une forte opposition qui avait choisi la voie légale pour s’opposer à la dépénalisation. En effet, l’Église catholique, les associations familiales, caritatives et anti-avortement ont tenté d’organiser un référendum sur la question. Pour cela une pétition a obtenu près de 100 000 signatures contraignant les députés à examiner la demande. Mais elle a finalement été rejetée. Ensuite c’est la pandémie de coronavirus qui a interrompu le législateur. Reste une étape a franchir : le droit de regard du président de la République. Le catholique Marcelo Rebelo de Sousa pourra promulguer la loi, saisir la Cour constitutionnelle ou bien opposer son droit de veto. Il a 20 jours pour se prononcer. À Lisbonne, Marie-Line Darcy RFI.(ce script copié pae RFI)(和訳省略)
Organisation mondiale de la santé par ailleurs à Wuhan en Chine. Les experts ont entamé ce vendredi leur enquête des terrains sur l'origine du coronavirus. Dans une investigation pourrait d'ailleurs durer plusieurs semaines, les spécialistes de l'OMS seront, eux, dans le célèbre institut de virologie de Wuhan qui manipulait notamment des coronavirus. Ils seront aussi au marché Huanan, premier foyer de l'épidémie où était notamment vendu des animaux sauvages vivants.
92 millions 200 mille dollars, c'est le prix astronomique auquel s'est vendu une toil de Botticelli. La vente aux enchères du portrait italien datant de la Renaissance s'est fait chez Sotheby’s. Sotheby’s qui a déjà enregistré le précédent record en mai 2019 avec une toile de Monet. Axelle Simon vous propose de jeter un œil cette toile rare et chère.
D'autres dossiers brûlants pour le diplomate en chef des États-Unis, les relations avec la Chine et Pékin semble vouloir montrer ses muscles avant toute discussion. Les autorités chinoises mettent ainsi la pression sur Taïwan depuis quelques jours. Un porte-parole de l'armée chinoise a affirmé ce jeudi que les forces de son pays sont prêtes à répondre à toutes les provocations et ingérences étrangères dans la zone. Les explications de Stéphane Lagarde.
Après le choc de la démonstration de forces de ces derniers jours, le poids des mots et des menaces. Pour la Chine populaire, ≪ l’indépendance signifie la guerre ≫ a martelé Wu Qian, et ≪ ceux qui jouent avec le feu se brûleront ≫. Selon le porte-parole du ministère chinois de la Défense, le déploiement récent d’avions de combats dans la zone aérienne de Taïwan est ≪ une réponse aux ingérences extérieures ≫ et à la ≪ poignée de personnes ≫ qui cherchent à obtenir l’indépendance de l’île. Ces mots au lance-pierre s’adressent d’abord à la nouvelle équipe à la Maison Blanche. Joe Biden venant de réaffirmer l’engagement ≪ solide comme un roc ≫ des États-Unis auprès des Taïwanais. Une provocation pour Pékin qui considère Taïwan comme faisant partie des intérêts vitaux de la Chine. Le départ de Donald Trump a fait retomber les tensions commerciales, la rébellion hongkongaise s’est vue imposer une loi de sûreté nationale, mais la question taïwanaise reste ultrasensible alors que la présidente Tsai Ing-wen n’a jamais revendiqué l’indépendance de Taïwan. Le pays l’est déjà, répète-t-elle souvent. Stéphane Lagarde, Pékin RFI. (ce script copié par FRI)(和訳省略)