À la une de l'actualité, cette découverte macabre en Grande-Bretagne. 39 personnes retrouvées mortes dans un camion en provenance de Bulgarie. Peu d'indications sur le moment sur les victimes. On s'aligne avec Murielle Delcroix à Londres dans un instant.
157 morts, c'est le bilan officiel de la semaine de contestation qui a secoué Bagdad et le sud de l'Irak début octobre. La majorité des morts était manifestants, principalement dans la capitale et à 70 % par des tirs à balles réelles qu'elles ont touché aux torses et à la tête. Des chiffres dévoilés par la Haute commission d'enquête voulue par leur régime. La mission de l'ONU en Irak dénonce un usage excessif de la force par les forces de sécurité. Le gouvernement reconnait pourtant la responsabilité que dans certains cas et accuse souvent des tireurs non identifiés. Des commandants militaires ont toutefois été limogés dans sept provinces du pays. Ça n'a pas calmé l'opposition qui prévoit de retourner dans la rue vendredi.
Et la mobilisation ne faiblit pas au Liban. 6e jour de contestation malgré le plan de réformes du gouvernement Hariri. Nos envoyés spéciaux se sont rendus à Tripoli pour entendre la colère dans cette grande ville du nord.
De l'autre côté du globe, le président chilien a choisi de jouer la carte politique face à la crise sociale toujours vive. S'il déjà fait 15 morts, 230 blessés et plus de 2 600 arrestations. Sebastian Piñera a cherché à réunir tous les partis politiques ce mardi soir pour trouver une solution à la colère des Chiliens. Réunion qui fera sans le principal parti d'opposition. Les socialistes ont refusé d'y participer et alors que Santiago sans dehors de nouveau ce couvre-feu que l'état d'urgence est toujours en vigueur et les transports quasiment à l'arrêt. Une contestation à partir des jeunes contre la hausse du prix du ticket du métro. Mais la colère de la société chilienne semble avoir des racines plus profondes, Agnès Cacmort.
Dans quelques heures, dans le nord de la Syrie, la police militaire russe et la garde frontière syrienne remplacées les forces turques. Accord trouvé entre le président turc Erdogan et son homologue russe Vladimir Poutine alors que le cessez-le-feu a expiré, les derniers kurdes sont invités à quitter la zone.
L'avenir du Brexit entre les mains des 27. Le président du Conseil européen Donald Tusk demande aux 27 acceptant report. Paris se dit prêt à extension technique. Et pour la première fois, les députés de Westminster ont voté en faveur de l'accord conclu par Boris Johnson mais ils rejettent son calendrier.